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Albanais 1900 – Nos villages (Albens, La Biolle, L’émigration)

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Nos villages

ALBENS

Depuis 1861, Albens est le chef-lieu d’un canton de neuf communes. Les guides des années 1900 signalent le village pour « sa belle église moderne aux chapiteaux historiés » et son passé antique.

En l’espace d’un demi-siècle, la bourgade a connu quelques transformations importantes. Tout d’abord le déplacement de son centre de gravité lorsqu’en 1867 la nouvelle église fut implantée dans le pré Langard, à côté de la route de Rumilly ; ensuite, une série de constructions caractéristiques de la révolution industrielle et de la IIle République : la gare inaugurée en 1866, le groupe scolaire mixte achevé en 1882 et accueillant la mairie en 1893.

Avec 1 559 habitants en 1911, Albens est le village le plus peuplé du canton ; ses habitants travaillent surtout dans l’agriculture, mais déjà certains trouvent de l’activité dans l’industrie fromagère à Saint-Félix ou dans la fabrication des tuiles chez Poncini.

Le docteur Rosset, diplômé des Universités de Paris, est le médecin du Canton ; la pharmacie se trouve quartier de la gare. Albens a son poste de gendarmerie donnant sur la Grande Rue, ses nombreux commerces et cafés.

Albens - Derrière l'église
Albens – Derrière l’église

LE GÉNÉRAL PHILIBERT MOLLARD

Glorieux enfant d’Albens, Philibert Mollard est célébré par la presse de l’époque autant pour ses qualités militaires que pour son attachement à la France.

En 1866, un journaliste du Mont-Blanc écrit à son sujet : « C’était chez lui une habitude de gagner tous ses grades supérieurs sur le champ de bataille. Après la victoire de San Martino, Mollard fut nommé commandant du 4e corps d’armée, dont le quartier général était à Casal. C’est là que l’annexion le trouva, au printemps de 1861. Lorsque les officiers et soldats de son corps d’armée apprirent sa détermination de passer en France, ils lui offrirent par souscription une épée d’honneur en souvenir de sa belle conduite à San Martino, et le prièrent de rester au milieu d’eux ; mais sa résolution était arrêtée… Aujourd’hui, la carrière militaire du général Mollard semble terminée… Il a quitté le service d’aide-de-camp de l’Empereur pour entrer au Sénat. Le général Mollard est grand officier de la Légion d’honneur. »

ALBENS (Savoie) - Villa Futenex : ancienne résidence du général Mollard
ALBENS (Savoie) – Villa Futenex : ancienne résidence du général Mollard

LA BIOLLE

patrie de François Michaud, grenadier d’empire

Rares sont les habitants de La Biolle qui se souviennent vers 1880 de François Michaud et de son glorieux passé sur les traces de la Grande Armée.

Pourtant la commune pourrait être fier de ce grenadier de Napoléon écrivant à son frère, greffier de la Justice de paix : « embrasse tous ceux qui te parleront de moi et dis-leur que je suis vainqueur d’Austerlitz. »

Mais la tourmente révolutionnaire est loin et les 1 150 habitants de la commune (recensement de 1911) se souviennent plutôt du grave incendie de 1862 qui ravagea une partie du village et dont les pompiers d’Aix et d’Albens ne vinrent à bout qu’après un jour et une nuit de lutte.

Leurs pensées vont également à ceux qui sont partis outre-mer chercher fortune sur les terres argentines ou algériennes.

La Biolle est un village de petits propriétaires travaillant surtout comme agriculteurs, cabaretiers, charpentiers ou maçons.

Il souffre de n’avoir pas pu faire installer une gare sur son territoire, ne dispose pas d’activité industrielle notoire et se tourne plutôt vers des activités commerciales que la proximité d’Aix-les-Bains rend lucratives.

Les deux fruitières constituent avec les cafés restaurants d’importants lieux de rencontre.

L’ÉMIGRATION

À Cessens, les femmes allaient jusqu’en Argentine servir de nourrice. L’argent gagné servait ensuite à acheter des maisons appelées « maison de lait ».

Cette anecdote est révélatrice de l’important courant migratoire qui toucha l’Albanais et plus largement la Savoie dans la seconde moitié du XIXe siècle. La destination la plus fréquente était alors l’Amérique du Sud, plus particulièrement l’Argentine et l’Uruguay.

Avec près de cinquante départs enregistrés, la commune de Cessens vient en tête pour le nombre d’émigrants ; Saint-Germain, La Biolle, Albens, Saint-Girod, Saint-Offenge ou Ansigny fournissent chacune une dizaine de personnes. Au total, l’Albanais a vu s’expatrier quelques centaines d’hommes et de femmes. Tous les métiers sont représentés : cultivateurs, artisans, commerçants.… Épouses et enfants accompagnent les chefs de famille ou font en sorte d’aller les rejoindre. Des frères, des fiancés s’efforcent de se retrouver.

CONDITIONS DE PASSAGE

Nourriture des Passagers-Émigrants.
 

Les plats sont composés de huit à dix personnes.

Déjeuner
Café avec 4/6 de litre eau-de-vie ou rhum. 5 fois par semaine.
Anchois avec 4/4 de litre de vin. 2 fois par semaine.
Biscuit.

Dîner
Un potage avec le bouilli.
Un plat maigre.
Un quart de litre de vin.
Pain.

Souper
Un plat fort de viande.
Un plat maigre.
Un quart de litre de vin.
Pain.

Le jeudi et le dimanche, le plat de viande du souper sera remplacé par un rôti.

Le restaurateur se réserve la faculté de donner à trois repas de la semaine du biscuit en remplacement pain.
Les bidons, gamelles, plats, assiettes, couverts, etc., sont fournis gratuitement aux passagers-émigrants qui devront les tenir en état de propreté et les laisser à bord en arrivant à destination.

Couchettes. — Chaque passager-émigrant a droit à la couchette portant le numéro mentionné sur le présent contrat. Les enfants de un à huit ans n'ont droit qu'à la moitié d'une couchette.
La literie, consistant en une paillasse, une couverture et un traversin, est fournie par le navire.
 
Bagages. — Chaque place entière donne droit au transport gratuit de 100 kil. de bagages n'excédant pas 8/10 de mètre cube.
L'excédant paie à raison de 12 fr. les 100 kil, ou le 4/10 de mètre cube.
Le linge et les effets à usage sont seuls considérés comme bagages.
Chaque colis doit porter les noms et la destination du passager émigrant.

Les couchettes étant élevées de 45 centimètres, il est obligatoire au passager-émigrant de placer ses bagages au-dessous.
Les colis dépassant cette hauteur seront mis dans la cale et rendus à destination seulement.

Il est interdit de conserver dans ses bagages des espèces, valeurs ou marchandises; le passager-émigrant devra les consigner à l'Agence et en payer le fret.

En cas de maladie grave ou contagieuse, légalement constatée avant l'embarquement, le passager-émigrant a droit à la restitution du prix payé pour son passage. Le prix du passage est également restitué aux membres de sa famille qui restent à terre avec lui.

En cas de maladie traversée, le passager-émigrant a droit également aux soins gratuits du Docteur du bord et aux médicaments nécessaires.

Si le navire ne quitte pas le port au jour fixé parle contrat, l'Agence est tenue de payer à chaque passager-émigrant, pour ses dépenses à terre, une indemnité de 2 francs par jour.

Si le retard dépasse dix jours, le passager-émigrant a le droit de résilier son contrat, et ce, par une simple déclaration, faite au Commissariat de l'Émigration, sans préjudice de dommages intérêts qui pourront lui être alloués.

Toutefois, si les retards sont produits par des causes de force majeure, appréciées et constatées pur 1e Commissaire de l'Émigration, le passager-émigrant ne peut renoncer à son contrat ni réclamer l'indemnité de séjour à terre, pourvu qu'il soit nourri et logé, soit à bord, soit à terre, aux frais de l'Agence ou de ses représentants.

Dans le cas où, après avoir payé le prix de son passage, un passager-émigrant ne partirait pas, il lui sera remboursé seulement la moitié de la somme payée, l'autre moitié demeurant  acquise à l'Agence.

En cas de transbordement, sur un autre steamer, des passagers-émigrants, ceux-ci y seront installés et nourris dans les mêmes conditions que celles stipulées au présent contrat.

Le présent contrat est nominatif et personnel ; il ne peut, en  aucun eus, être transféré à autrui.

Le passager-émigrant doit se conformer aux réglements concernant in police du bord.

Toutes les contestations ayant trait à l'exécution du présent contrat seront soumises à l'arbitrage du Commissaire de l'Émigration, à Marseille.

« Nous voilà donc arrivés à Montévidéo — écrivent en 1869 à leur sœur restée à La Biolle, Pierre et Jeannette — jour si attendu ; nous débarquons avec un jeune garçon européen qui a son frère établi, tenant un grand café-restaurant ; nous y voilà bien reçus en grande société française… Mais pour nous ce n’était pas tout, il manquait mon frère. »

Ce frère qu’ils retrouveront quelque temps plus tard, travaillant dans une grande exploitation agricole.

Ils n’auront pas hésité à faire une traversée de près d’un mois de navigation ; un voyage qui n’a pas été toujours facile, comme le précise Jeannette : « Je n’ai pas éprouvé de mal de mer ce qui est bien rare pour celui qui n’est pas habitué car sur quatre cent onze passagers (embarqués à bord du paquebot à vapeur Poitou) pas vingt ont fait le trajet sans souffrir du mal de mer car autrement tous les passagers à bord ont été surpris par les chaleurs. »¹

Saint-Girod : Chef-lieu vers 1912
Saint-Girod : Chef-lieu vers 1912

Attirés par le mirage sud-américain, ils trouveront du travail et réussiront même à rembourser la somme empruntée pour payer leur traversée.

Beaucoup n’auront pas la même chance ce qui amènera les autorités savoyardes à des mises en garde répétées, rappelant à tous ceux qui « poussés par le vague désir d’améliorer leur sort se rendent en pays étrangers » de s’assurer d’y trouver un moyen d’existence.

¹ Lettre de 1869. Archives privées.

Au collège Jacques Prévert avec une classe de 4ème

• Objectif : en savoir plus sur les découvertes archéologiques effectuées en 1978 lors de la construction du collège.

Collège d’Albens

• Demande de Chantal Didier, professeur de Lettres, travaillant avec sa classe le fantastique à partir de l’histoire du collège.

• Intervention de Jean-Louis Hébrard, mardi 9 avril en fin de matinée. Au programme, observation de la pierre à cupules trouvée en 1978, placée aujourd’hui sur une pelouse de l’établissement. Définition du contexte préhistorique de ce mégalithe à l’aide d’un power point « Préhistoire dans l’Albanais », puis évocations de toutes les légendes entourant ces pierres et qui nourrissent l’imaginaire. La découverte d’un cimetière de l’époque mérovingienne sur le site du collège, est aussi abordée en fin d’intervention.

Pierre à cupules
Pierre à cupules

• Invitation a été faite à la classe, à ceux qui le voudront bien, de nous faire partager leurs productions écrites. Incitation aussi à utiliser notre site Kronos (nombreux articles sur le sujet) et à consulter le n°37 de la revue (article sur le cimetière) à la médiathèque de l’établissement. D’autres interventions peuvent être programmées à la demande, via notre site.

Albanais 1900

Albanais 1900 est un livre épuisé, paru en avril 1991 (dépôt légal, ISBN 2-9505656).

Cet ouvrage avait été un travail conjoint de Bernard Fleuret, de Kronos, de La Biolle Loisirs, avec la participation gracieuse de Jean-Louis Hebrard pour le texte.

Vous retrouvez ici la mise en ligne de ce livre, découpé par chapitres.

Avant-propos

L’Albanais dans l’espace et le temps

Nos villages :

Dans l’Albanais à la Belle Époque :

  • L’agriculteur Albanais
  • Le train et le tourisme
  • Les tuileries, l’industrie fromagère et les écoles
  • Vivre à la Belle Époque et les nuées de la guerre

Bibliographie de l’époque (Articles parus dans des revues locales)

Louis Perroud raconte la « Grande Guerre », Kronos n° 1
Fides et Spes, deux cloches centenaires, Kronos n° 1
La Tuilerie Poncini, Kronos n° 2
L’huilerie Tournier à Saint-Girod, Kronos n° 2
Le rattachement du canton d’Albens au département de la Savoie, Kronos n° 3
Philibert Mollard, Kronos n° 3
La Chambotte, une signature de la Belle Époque, Kronos n° 4
Un chemin de fer historique : celui d’Aix à Annecy, Kronos n° 4
A Vélocipède dans l’Albanais au début du siècle, Kronos n° 5
La fanfare « La Gaîté » de La Biolle, Kronos n° 5
La batteuse, Les Amis du vieux Rumilly n° 8
Les clochers de l’Albanais, Les Amis du vieux Rumilly n° 7
À Albens, autrefois…, Les Amis du vieux Rumilly n° 5
Vacances d’autrefois en Albanais, Les Amis du vieux Rumilly n° 7
Les deux forges de Saint-Félix, Les Amis des Moulins savoyards n° 4
Vivre à Saint-Ours, Bulletin municipal

La composition et la photogravure d’origine : A.P.P. Grenoble.

Maquette et couverture : Philip Astorg et Bernard Fleuret. Imprimerie du Marais, Albens.

Téléthon le 9 décembre : une découverte du petit patrimoine religieux et ouverture de l’Espace Patrimoine

Dans le cadre du Téléthon 2024, Kronos vous propose une découverte guidée du petit patrimoine religieux. Partant le samedi 9 décembre à 10h devant le centre administratif d’Albens, l’itinéraire ira de la Rippe à l’Espace Patrimoine, en passant par la rue Joseph Michaud.

Les dons (2€) seront reversés au Téléthon.

De plus, l’Espace Patrimoine sera ouvert, de 10h à 12h et de 14h à 16h. N’hésitez pas à venir visiter nos collections !

Niche murale au Parc
Croix de mission aux écoles (carte postale 1910)

Découvrir des objets anciens avec Kronos

Samedi 2 septembre, comme chaque année, Kronos tenait son stand au Forum des associations à Albens (Entrelacs). À la manœuvre, l’équipe traditionnelle avec Raymond George, Denis Berthet, Gérard Pignard-Berthet pour la mise en place du stand, Annie Mirabé notre photographe, Marius Bonhomme et Jean-Louis Hebrard pour les objets présentés.
Les visiteurs étaient invités à découvrir quelques objets anciens apportés sur le stand. Une lessiveuse, un appareil à griller le café et même des outils préhistoriques ont attiré l’attention des visiteurs qui étaient invités à les identifier.

Cliché A. Mirabé
Cliché A. Mirabé

Étonnement dans les yeux des enfants, questionnement de la part des parents… Les échanges furent enrichissants pour tous. Les bénévoles en ont profité pour donner des informations sur le fonctionnement de Kronos (adhésion, visite guidée d’Albens, inscription Journées du patrimoine, découverte de l’espace patrimoine, intervention dans les écoles…).

Pour faire bouillir le linge autrefois
Pour faire bouillir le linge autrefois

De belles adhésions ont été enregistrées (deux couples).
Une dernière information, pour toutes ces activités il faut nous contacter sur le site www.kronos-albanais.org

Pavement romain (tomettes)
Pavement romain (tomettes)

Exploration archéologique avec les classes de CP/CE1 de l’Albanaise – 1er juillet 2023

Les petits explorateurs des classes de M-F. Eynard et C. Moggi partaient ce lundi 1er juillet à la découverte du passé lointain d’Albens, de la pierre à cupules (préhistoire) à l’inscription latine à l’honneur de Trajan (IIème siècle), de la colonne romaine du Paradis à l’Espace patrimoine et ses collections archéologiques.

Au Paradis
Au Paradis

De belles sorties, le matin pour la classe des CP/CE1 et l’après-midi pour les CP. La halte à l’Espace patrimoine à été appréciée en cette période de forte chaleur. La classe de C.Moggi pose devant le « musée » rue du Mont-Blanc avant de regagner l’Albanaise.

Photo souvenir
Photo souvenir devant l’espace patrimoine
Photo souvenir au Paradis

Merci aux enseignantes pour les photographies.

J-L Hebrard

Aux jardins de l’Albenche – 14 mai 2023

Comme tous les ans, Kronos était présent à la journée « troc plantes » organisée par l’association des « Jardins de l’Albenche ».

Le trio sous le barnum (Cliché Jacques Thomé)
Le trio sous le barnum (Cliché Jacques Thomé)

La journée pluvieuse ne nous a pas interdit d’assurer notre présence grâce au barnum installé par les services de la commune à la demande de Raymond. De grandes grilles nous ont permis d’installer les panneaux conçus et réalisés par René et Jean-Louis, panneaux consacrés au thème de l’eau et à l’Albenche.
Le public attiré par cette thématique a beaucoup posé de questions, les échanges ont été fructueux. Les photos sur le dernier débordement de l’Albenche en ont étonné plus d’un.

Avril 2023, l’Albenche est sortie de son lit (cliché B.Fleuret)
Avril 2023, l’Albenche est sortie de son lit (cliché B.Fleuret)

À la fin de la matinée, la venue des élus nous a donné la possibilité de rappeler tout l’intérêt que porte Kronos au patrimoine local, à son étude et à sa préservation.
Le repas de midi nous a été offert par l’association que nous avons remercié par l’intermédiaire de sa président Cécile Burgod.
Rendez-vous a été pris pour 2024.

Cent ans de Rosières à Albens : recherche de documents

L’association KRONOS pour la réalisation d’un ouvrage « Cent ans de Rosières à Albens » recherche des documents plutôt anciens de préférence (photos ou témoignages).

Ces derniers concernent :

La rosière, son couronnement et son environnement bien sûr.

La fête foraine (photos d’enfants ou adultes sur des manèges..)

Les animations du dimanche après midi. (jeux…)

La course cycliste.

Les documents seront scannés et vous seront rendus très vite.

En cas de publication la provenance sera notifiée.

Contactez par mail l’association Kronos : contact@kronos-albanais.org

Par téléphone : Marguerite Levet au 04 79 63 05 25 ou Bernard Fleuret au 06 20 40 63 56

Affiche de la vogue d’Albens de 1936
Affiche de la vogue d’Albens de 1936

Kronos et le marché de Noël : une belle histoire

À nouveau Kronos était présent au marché de Noël d’Albens. Un emplacement avait été mis à notre disposition à l’entrée de la salle d’animation juste à côté du fauteuil du père Noël. Nous avons rapidement noué de bonnes relations avec ce dernier qui a bien voulu être photographié en compagnie de Denis, Jean-Louis et Raymond.

Qu’il est grand ce père Noël !
Qu’il est grand ce père Noël !

Bien visible, notre stand a été bien fréquenté et nous avons vendu pas mal de revues et de cartes postales (collection B.Fleuret) pour une somme dépassant cinquante euros.

En discussion (cliché J Thomé)
En discussion (cliché J Thomé)

Une présence qui a permis aussi de multiplier les contacts, d’apprendre et d’échanger.

Il faisait un peu froid à ce samedi matin 10 décembre (cliché J Thomé)
Il faisait un peu froid à ce samedi matin 10 décembre (cliché J Thomé)

Un remerciement à l’association « Anim’actions » et à Christel Sacco pour leur accueil. Rendez-vous est pris pour « l’an qué ven » !